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ACCORD DU CENCO : LES CARROTTES SONT CUITES Joseph Olenghankoy aux commandes du CNSA


Les choses sont désormais plus claires, malgré le retard occasionné par les uns et les autres, l’Accord du CENCO dit du 31 décembre 2016 est appliqué en RD Congo. D’abord par la nomination du 1er Ministre Bruno Tshibala, et maintenant avec la désignation par consensus de Joseph Olenghankoy comme président du CNSA.
Malgré que les politiques congolais sont connus pour leur instabilité néfaste et regrettable. Cette instabilité se manifeste chaque fois qu’il y a du mécontentement dans leur chef. On en veut pour preuve les désaveux dont est victime Joseph Olenghankoy devenu président du CNSA, désaveux montrant jusqu’où peut aller la mauvaise  foi de ces politiques.
Ils savent pourtant tous que l’ancien président du CNSA, feu Etienne Tshisekedi était aussi président du comité des sages.
A sa mort c’est Olenghankoy qui est devenu le président du Comité de sages avec l’accord de tout le monde.
C’est à ce titre qu’il a déposé la liste des candidats premiers ministres sans être contesté. C’est peut être cette liste contenait les noms suivants : Félix Tshisekedi,
Bruno Tshibala, Vincent Mubake Katebe Katoto et Matungulu.
Et que parmi eux sauf Tshibala a été choisi que les mécontents en on fait un problème insoluble.
C’est d’ailleurs l’habitude des congolais au sortir des dialogues, symposiums, conclaves qu’ils créent des crises parce qu’ils ne sont pas nommés. C’est dans ce cadre qu’il faudra mettre la contestation de la nomination de Bruno Tshibala.
Même que Vital Kamerhe a voulu faire de l’amalgame entre les opposants membres de cassop et ceux qui ne sont pas jusqu’à refuser le poste de vice-président qu’on lui offre gracieusement. Il gonfle le force se met à vu, tuperait et à vaucifferé : c’est ne pas honnête de sa part.
Ainsi se comprend la volte face de ceux dont l’ingratitude proverbiale et connue. Le cas, Lisanga Bonganga, l’actuel ministre d’Etat en relation avec le parlement est symptomatique d’une trahison consommée, sinon habituelle parmi les politiciens de ce pays.
Comment comprendre autrement que, tenu au courant de toutes ces démarches, il se mettre aujourd’hui à contester son aboutissement. Ou bien on est sait à quel aboutissement vont arrivées telles démarches ou on le sait pas. Et quand on les sait c’est les démarches qu’il faut contestée et non leurs aboutissements. Finalement que veut-on ? Nommés un autre premier ministre et un autre président du CNSA ? Dans ce cas, à quel moment auront lieu les élections attendues ? En décembre ou après décembre ?
Cet Olenghankoy qu’on contesté est certainement limité, comme chacun de nous, mais il est resté longtemps aux côtés du leader maximo sans être contesté par ceux qui aujourd’hui ne veulent plus de lui.
Apprenons à être honnête pour construire pour construire ce pays qui espère. En nous pour son développement. Il suffirait un peu de fierté et une bonne dose d’honnêteté intellectuelle pour mettre la machine en marche. Ci-dessous le CV du président du CNSA :
Nom et Post-nom :
Olenghankoy Mukondji,
 Prénom : Joseph. Né à Kinshasa, le 24 décembre 1965, Marié ; originaire de la province du Sankuru, Territoire de Lubefu, Secteur de Songo, village d’origine : Mukundji Tete.
Etudes faites :
Il a étudié à l’Ecole Primaire d’Application de Wembo-Nyama (Internat), Ecole Saint Kizito dans le Territoire de Katako-Kombe (internat), dans la Province du Kasaï Oriental , et avait obtenu le Certificat de fin d’Etudes primaires.
Il a fait ses études secondaires à l’Ecole Secondaire de Bukangalonzo (internat), dans la province de Bandundu, et à l’Institut Professionnel de Boma (internat), dans la Province du Bas-Zaïre ; et a termine ses études secondaires à l’Institut Technique et Industriel de la Gombe, dans la Ville de Kinshasa. Diplômé d’Etat, A2.
Etudes supérieures et universitaires
Il avait bénéficié  une bourse d’Etude occtroyée par « Fund for third word development », parmi quatre autres compatriotes, un visa d’étude a été obtenu auprès de l’Ambassade de Belgique pour entamer les études en Relations Internationales à « Europan University of Brussels », sous la direction des Professeurs Dominique  JOSEAU, Recteur de l’Université et Dominique NIEBERDING, Président de la même : un diplôme en Relation Internationale fut obtenu.
Deux ans d’Etudes Universitaires Générales en droit (DEUG) à l’Université de Nancy II (France) ; Cour Léopold, sous la direction du Professeur Jean-Louis BEAUFORT. Référence : Professeur TSHIYEMBE d’origine congolaise.
Un visa d’étude fut obtenu pour entreprendre les études aux Etats-Unis d’Amérique, grâce à une bourse de l’Eglise Méthodiste à «  Central Pigment Community College », CPCC en sigle à Charlotteville, North Carolina, aux USA, pour étudier la langue anglaise et les sciences politiques à l’Université « Southern Illinois University) » à Carbondale. Référence : Professeur ILUNGA, d’origine congolaise.
Diplômé en Droit à l’Université Panafricaine du Congo, UPAC en sigle. Master en Droit en préparation dans la même Université.
Expérience vécu
1.    Etudiant alors que nous étions de retour au pays en 1984, nous sommes arrêtés à l’aéroport par l’AND, et acheminé vers Trois Z, lieu de détention, accusé par le Maréchal Mobutu d’être un espion au service des pays étrangers. Nous y avions trouvé d’autres compatriotes comme Papa EKOFO et Papa LOKWA, agents des affaires étrangères, qui étaient également reprochés des mêmes faits. Il s’y trouvait aussi des militaires Angolais du MPLA, dont le Colonel DOMIGOS et les autres. Cependant, sous pression internationale, nous seront libéré et convoyé à l’aéroport pour répartir vers les USA.
2.    En 1989, revenu au pays pour des vacances, nous étions de nouveau arrêté par des éléments de la Garde Civile faisant référence à notre dernière arrestation pour cause de déstabilisation du régime, nous sommes conduit au SNIP, au Parquet, puis à la prison de Makala où nous avons rencontré des compatriotes comme Bosasi, Epole, Kodja et autres. Nous serons libéré après le discours présidentiel du 24 avril 1990.
3.    Lors de l’avènement de l’ouverture démocratique annoncé par le Chef de l’Etat en 1990, à la suite des consultations politiques de janvier en mars 1990, le peuple zaîrois avait décidé de briser les chaines de l’asservissement du mobutisme et de sa forteresse de Parti-Etat, le MPR. Il avait revendiqué sans équivoque le changement.
4.    Au lendemain du  discours  présidentiel du 24 avril 1990, l’opposition zaïrois avait proclamé sa foi au renouveau du changement et avait pris l’engagement solennel d’être le porte-étendard du changement dans notre pays pour lequel nous attendions donner le meilleur de nous-mêmes. Aussi comme un seul homme, avions-nous contraint le pouvoir décadent à se résigner au multipartisme intégral à la place de celui à trois dans lequel il entendait enfermer notre peuple.
Il parle les langues suivantes : Français, Anglais, Swahilu (parfaite écoute), Lingala, Tshiluba (parfaite écoute), et Kikongo.  Il est Président National du FONUS, Président du Conseil des Sages du Rassemblement des Forces Sociales et politiques acquises au changement. 

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