Théoriquement combattue et criminalisée:La corruption est devenue légale pendant les élections
* Elle est pour les députés un grand moyen pour se faire élire
Corrompre désigne : séduire l’innocence, la bonne foi, la jeunesse, les gens simples qui ne sont point en garde contre l’artifice e faciles de tromper en les abusant.
En effet, pour réussir leurs aventures politiques en souriant d’où le slogan indigène de « pesa moninga sourire » dont entend çà et là.
La corruption est sans crainte d’être contredit, devenue un fait de société et pousse dans toutes les institutions publiques, en dépit des « patrouilles » organisées par l’IGF, l’organe de contrôle le plus inapte qu’il n’y ait ailleurs.
Au-delà de l’IGF, il existerait un autre truc-machin dénommé « Agence de lutte contre la corruption » dont on ignore complètement les misions à elles dévolues, s’étonne-t-on. Comment appelle-t-on la distribution de l’argent « cash » aux électeurs en plein air par les candidats ou par leurs représentants, s’interroge-t-on.
Sans aucune autre forme du procès, la corruption s’impose avant, pendant et après les campagnes électorales dont les pasteurs, les artistes-musiciens, les comédiens, les sportifs, les leaders d’opinions et certains médias figurent en pole position.
A quelle valeurs doit-on s’attendre dirigeants « acheteurs » de conscience à peu des frais, pour gagner des millions toute une législature ? Pourront-ils se livrer radicalement à la lutte contre la corruption tout en étant corrupteurs en titres ?
Se sentiraient liés aux électeurs ou leur seraient-ils redevables, après les avoir extorqué le vote par des faux sourires ou rires ? Or, la dent rit, les sentiments intérieurs sont différents, enseigne une sagesse.
Dans le même ordre d’idée, « les choses coûtent ce qu’elles valent », comment un électeur séduit pour un petit verre du riz, un verre du sucre, un carré du savon de ménage, un pagne, sera –t-il traité avec considération par celui ou celle qui l’a trompé ou acheté ?
Cette grande calamité dénommée « corruption nationale » a détourné tout le monde du bon chemin, ou qu’elle profère des menaces contre ceux-là qui résistent de rejoindre le bon côté où règne la corruption.
Donc, les députés issus de la corruption à ciel ouvert, au fond ne seront pas redevables à personne.
Seulement, il va sans dire que l’égoïsme a pris la place du partage.
A travers la corruption devenue « une solution nationale », les élections y relatives ne produisent point une législature de qualité, tant du point de vue nationale que du point de vue provinciale, mais une masse d’élus aux mœurs dérèglées.
Pas forcément du goût d’électeurs mais du fait de la calamité appelée « corruption » à grande échelle.
Page précédente!
Théoriquement combattue et criminalisée:La corruption est devenue légale pendant les élections
Ecrire un commentaire
Commentaires