« Quand le coup de fusil refuse de partir, l’antilope s’en moque joyeusement ». En d’autres termes, le malheur de Jules Alingete fait la joie des voleurs d’Etat. Certes, par la volonté des « adversaires des progrès » qui assiégé tout l’appareil étatique, et le caractère particulier d’un Etat de tolérance « tous azimuts », d’une société archer corrompue par le népotisme des gouvernants, l’IGF a tout simplement et lamentablement échoué après beaucoup d’essais et d’efforts. Ils l’ont enfin réduit en cendres. Du coup, l’IGF est devenue par voie de conséquence ; le contrôleur le plus doux qu’il ait au monde. Après chaque passage de l’IGF dans les institutions, c’est l’occasion tout offerte aux animateurs de celles-ci pour se réjouir comme le gibier qui venait d’échapper à un désastre. « Le silence forge mieux que le bruit ». Le défaut de M. l’IGF Jules Alingete est celui de trop parler, dans la mesure qu’il est impossible d’en finir en une seule formule toute la richesse des détournements et de leurs auteurs professionnels, surtout par le battage médiatique. La mission de l’IGF est une tâche risquée et de grandeur nature, de la prudence où les éléments du vol organisé sont utilisés ou interprétés comme à la Jamesbonderie où la science de voler est enseignée aux questionnaires dès qu’ils accèdent au pouvoir Tenez, Macntahon, l’un des hommes d’Etat avait déclaré : « On accède au pouvoir tout honnête, on y sort malhonnête ». Ceci peine à être démenti, mais trouve sa bonne place en RD Congo et nulle part ailleurs. Où a-t-on vu ou entendu un parlementaire se prévalant du titre maladroit de : Capable ? Ça révèle le caractère du manque de sérieux ou de la malhonnêteté semble avoir enveloppé certains compatriotes ivres de lait.
Au moins douze personnes ont été tuées par noyade et près d’une centaine d’abris des déplacés détruits par la tempête qui a soufflé la semaine dernière dans la région du lac Albert, à environ 55 kilomètres au sud de la ville de Bunia Date de Publication : 30/4/2024
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