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La course au pouvoir en RD Congo : Ils cherchent tous un ticket pour le Palais de la Nation !


La Commission  Electorale Nationale Indépendante(CENI)  a rendu public la liste définitive des candidats validés à la Présidentielle de la République et à la législative nationale, 21 candidats Président de la République pour un seul poste ; 15535  candidats à la députation nationale pour 500 chaises seulement.
Incroyable, mais vrai, ils veulent devenir tous Président de la République en RD Congo ! Hormis le candidat unique du Front Commun pour le Congo(FCC) qui est connu, M. Emmanuel RAMAZANI SHADARI, désigné par le Président de la République sortant comme son dauphin ou remplaçant à la Présidence de la République, les opposants se bousculent encore pour se choisir un candidat unique qui affrontera celui du FCC.
 Il est  important de savoir que la Majorité présidentielle(MP) avec ses alliés  débauchés de l’opposition transformés en FCC,   toutes les plates forment électorales, associations momentanées inféodées au régime se liguent derrière Ramazani  SHADARI, il est déjà  publicité déjà Président de la République après Joseph Kabila.
L’on remarque manifestement comment l’ambiance serait pendant la campagne électorale en faveur du candidat du FCC. C’est un gagnant connu d’avance à cause des soutient de ses pain notamment pour des raisons évidentes suivants : le candidat du FCC à la chance de gagner.
En outre, la CENI est accusée d’être inféodée par le pouvoir en place, le FCC, la MP, le PPRD, et leurs allies n’ont jamais contestés tout ce que la CENI propose, ils acceptent toutes les déclarations de la CENI connue une parole d’évangile.
La vraie raison est que le pouvoir en place gère tout, notamment toutes les institutions et entreprises financières, tout les moyens de l’Etat sont à leur porte pour battre  la campagne. Et, aussi l’armée nationale, la PNC, et les services de sécurité sont à la commande du régime en place, ce n’est pas étonnant que leur candidat à présidence passé sans embuches.
En plus les media publics sont au service des élégances  au Chef de l’Etat, Président de la République  et cela du matin au soir.  L’on a remarqué récemment certains journalistes de la RTNC ont été révoqués sans préavis, simplement pour avoir diffusé un élément de l’opposition à la RTNC,  normalement elle devrait être indépendante, église au milieu du village, surtout en cette période électorale.
L’opposition en ordre dispersée !
L’Opposition congolaise avec ses 20 candidats doit se choisir un candidat commun pour faire face au candidat du FCC, l’allure où vont les choses, les observateurs réfléchis remarquent qu’elle n’est pas vraiment à la taille de battre le  candidat du FCC si les opposants ne se mettent pas ensemble. A vrai dire le FCC control toutes les arcans du pouvoir. C’est une bataille perdu d’avance.
L’absence de l’appui des poids lourds de l’opposition comme Moise Katumbi, Adolphe Muzito, Jean Pierre Bemba dans ce processus, il est évident que sans des stratégies efficaces elle perdra sans faute la présidentielle du 23 décembre 2018. Un miracle extraordinaire peut être possible, malheureusement, elle est infiltrée par des faux opposants de la dernière heure notamment pour le partage des voix de vote, cette infiltration des faux opposants donne déjà un avantage au candidat du FCC.
Les électeurs  se demandent pourquoi les candidats qui se déclarent de l’opposition n’infiltrent pas aussi le FCC ou soit boycotter toutes les élections en bloc ? Il est temps que l’opposition exige des préalables avant de se choisir une candidature commune, notamment la fiabilité de la machine à voter, du fichier électoral, la transformation  de la CEN et de la Cour Constitutionnelle ainsi que la certification des résultats des élections par l’ONU via la MONUSCO. Au cas contraire l’opposition Congolaise sera conduite comme un taureau qu’on amène à l’abattoir.
Les 21  candidats retenus sont:
1. Emmanuel Ramazani Shadari, un cacique du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD, la formation du président Joseph Kabila) et ancien ministre de l'Intérieur. Officiellement candidat du Front commun pour le Congo (FCC), une vaste plate-forme électorale créée par le chef de l'Etat, il se présente toutefois comme " indépendant ".
2. L'opposant Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo, président de l'Union pour la Démocratie et le Progrès social (UDPS) et du Rassemblement de l'opposition congolaise (Rassop). Il est le fils de l'opposant historique Etienne Tshisekedi wa Mulumba, décédé le 1er février 2017 à Bruxelles - et dont la dépouille n'a toujours pas été rapatriée.
3. L'opposant Vital Kamerhe Lwa Kanyiginyi Nkingi, président de l'Union pour la Nation congolaise (UNC), troisième parti de l'opposition par le nombre de ses députés à l'Assemblée nationale. Cet ex-proche du président Joseph Kabila a présidé l'Assemblée nationale avant de tomber en disgrâce.
4. Seth Kikuni Masudi, un jeune entrepreneur qui se présente comme indépendant.
5. L'indépendant Tryphon Kin-Kiey Mulumba, un ex-ministre qui fut en son temps défenseur acharné du maintien du président Joseph Kabila au pouvoir et qui préside le Parti pour l'Action (PA).
6. Freddy Matungulu (alias Mbuyamu Ilankir Matungulu), un professeur de Sciences économiques à l'Université de Kinshasa qui préside le parti Congo na biso. Il a été investi comme président de la plate-forme Synergie électorale notre Congo (SYENCO).
7. L'indépendant Alain Daniel Shekomba Okende, directeur général d'une entreprise de téléphonie mobile basée à Malabo (Guinée équatoriale).

8. Radjabo Mbira Tebabho Soborabo, le président du parti Congolais unis pour le Changement (CUC).
9. Martin Fayulu, président du parti d'opposition Engagement pour la Citoyenneté et le Développement (Ecide) et soutenu par une plate-forme appelée Dynamique de l'opposition (DO). Il avait suspendu en mars sa participation aux plénières de l'Assemblée nationale et renoncé à la perception de ses émoluments pour dénoncer l'illégitimité des institutions du pays - tant le président Kabila que l'Assemblée ont été élus en novembre 2011 pour un mandat de cinq ans, mais les scrutins pour pourvoir à leur remplacement n'ont jamais eu lieu et sont désormais fixés au 23 décembre prochain.
10. Yves Mpunga, président du parti Lutte pour un Congo Moderne (LCM).
11. Théodore Ngoy Ilunga wa Nsenga, le président du parti Congo pour la justice (C.Just), mais qui se présente comme indépendant.
12. Le pasteur Joseph Mba Maluta, indépendant.
13. L'opposant Gabriel Mokia Mandemo, qui préside le Mouvement des Démocrates congolais (MDECO).
14. Pierre Honoré Kazadi Lukonda Ngube-Ngube, autorité morale du Front populaire pour la Justice (FPJ).
15. Sylvain Maurice Masheke Ngerakueyi, un ancien ministre de la Culture et Arts, membre de l'Union des Forces du changement (UFC), le parti du président du Sénat, Léon Kengo wa Dondo. Il se présente comme " indépendant ".
16. L'indépendant Charles Diavena Lutadila.
17. L'indépendant Noël Tshiani Muadiamvita, docteur en Sciences économiques et fonctionnaire international.
18. Le sénateur Jean-Philippe Mabaya Gizi Amine, candidat d'une plateforme dénommée Arc-en-ciel du Congo (ACC).
19. L'indépendant Francis Mvemba, un millionnaire vivant entre Monaco et le continent africain.
20 Samy Badibanga Ntita
21.Marie José Ifoko


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