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Que dire des crimes commis au nom de l’ordre public en RD Congo ?


En effet, selon une prophétie de chez nous prétend que : l’homme noir prendrait la place de l’homme blanc, mais à quelle fin ? Le constat est fort malheureux  si nous considérons ce qui se passe  pendant lez six décennies  que nous sommes en train de traverser. La situation  s’en pire davantage qu’à l’époque coloniale.
Les souffrances qu’endure la population congolaise sont plus atroces que celles que les « bonobos », simples animaux ne supportent pas. Le « même homme blanc » s’en occupe soigneusement, que le traitement réservé aux peuples Congolais par leurs leaders politiques. Quoi de plus normal pour parler patriotisme qui est le principe de vouloir  « vivre collectif » comme fils et filles d’une même mère patrie.
Après ceux qui ont été élevés au rang de « héros » nationaux, pour plusieurs raisons (vraie ou fausse) on croyait que la série allait s’arrêter net.
Que non. Bien au contraire, la liste de compatriotes fauchés par leurs propres frères ne fait que s’allonger, cette fois avec une cruauté plus brutale que celle de l’homme blanc. Comme chaque crime a son prétexte, celui le plus excipé pour remplir le sous-sol congolais s’appelle ironiquement : trouble de l’ordre public.
Réflexion. A supposer que l’on donne la mort à tous les citoyens congolais, au nom du même l’ordre public, ce serait un pays où régnera l’ordre public sans population.
C’est à se demander après la mort pénible de Rossy Mukendi,Thèrese Kapangala, Eric, Luc Nkulula, si l’ordre public a connu une accalmie, et si l’on se garderait de signer les certificats de décès et si les autopsies n’auraient droit d’exister moins encore, si les  enquêtes dont les suites sont toujours longues et populaires aboutiraient un jour.
Le thermomètre de souffrances cruelles auxquelles font face les Congolais se mesure par le nombre de champs de morts ou de cimetières qui se créent dans la ville de Kinshasa. La durée pour l’exploitation d’un cimetière à Kinshasa est de 3mois maximum (trois), et est complètement abandonné, en raison du taux surélevé de décès. Phénomène loin à s’imaginer sous le règne de « présumés » ou « présumables » Nationalistes.
Les congolais depuis belle lurette, meurent et meurent toujours en grand nombre, en  temps de paix si paix il y a, plus qu’ailleurs où se déroulent les guerres de manière visible. D’où, la prophétie dont question ci-devant peut se traduire de cette façon : « ayant pris la place de l’homme blanc, l’homme noir plus précisément le dirigeant congolais, multipliera les misères de ses frères mille fois qu’avant ». Les grands rois de l’autre époque avaient dans leurs sillages, les voyants pour servir d’interprètes de leurs rêves. Bon nombres de ces encombrants collaborateurs n’y parvenaient presque  pas. Le cas de Joseph le captif en fait foi.
De la même manière, les proches du visionnaire de ladite prophétie se dispensent de comprendre ce que cela voulait dire de « l’homme noir » remplaçant le «  blanc » à la Gombe. A bon entendeur !

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