Ces intouchables font n’importe quoi au détriment des faibles et de toute la population en général.
Cela s’explique par la culture de l’impunité caractérisée et favorisée par les régimes successifs en place. Cela se vérifie par l’augmentation de la corruption, des vols, des détournements de biens sociaux, l’injustice judiciaire dans tous les secteurs de la vie nationale..
Notez que, rien n’a quand même changé depuis l’avènement de l’ex l’AFDL (Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo) en 1997 qui avait chassé le Maréchal Mobutu Sese Seko du pouvoir, à cause du règne de la dictature instauré par ce dernier depuis plus de 30 ans. L’AFDL dirigée par Mzee Désiré Kabila a eu du succès et l’approbation populaire parce qu’elle disait vouloir défendre la cause du peuple et mettre fin au règne des intouchables. Arrivée au pouvoir, elle s’est transformée en conglomérat des aventuriers, a été balayée sur la scène politique nationale.
L’opinion se souvienne encore que Mzee Laurent Désiré Kabila n’a dirigé la RD Congo que pendant trois ans et demi. En peu de temps seulement malgré la l’agression causée par ses anciens amis de l’AFDL, il a su maitriser la situation, et il avait réussi à gagner la confiance de la population en général.
Il est clair que Mzee Laurent Désiré Kabila, malgré la révolution du pardon, n’a pas toléré l’impunité. Pendant son règne il n’y avait plus d’intouchables en RD Congo, Cette position patriotique avait produit un bon résultat: la confiance de la population. Si aujourd’hui le régime actuel est mal coté, c’est suite à l’impunité qui le caractérise.
Comme à l’époque de Mobutu,les slogans et opérations lancées par le régime pour éradiquer ces maux , notamment « fini la récréation », « tolérance zéro », « coup de poing (Likofi) »... et tant d’autres sont voués à l’échec. Ces intouchables qui détiennent réellement le pouvoir, parmi eux des mandataires, des membres du gouvernement, des députés, des sénateurs, des militaires, des policiers et des militants de certains partis politiques tous seraient impliqués dans la corruption. La justice est manipulée par des billets verts. Elle est rendue au visage du client.
Ce sont les faibles qui en paient le prix. La presse qui les dénoncent ou qui publie des vérités est effacée, et le journaliste emprisonné sans aucune autre forme de procès.L’on ne voit pas ces intouchables inquiétés même s’ils étaient cités dans la maffia et dans d’autres actes semblables, ni dans rapports élaborés par des voix autorisées.
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