La désignation du Président de la CENI :Les confessions religieuses ne s’entendent pas toujours !
Des dérogations en dérogations, la fumée blanche ne sorte pas. Les confessions religieuses ne parlent pas un même langage. Sur les six confessions, 6 confessions avaient optés pour la candidature de Denis Kadima.
Sauf deux confessions à savoir l’Eglise catholique et protestante n’ont pas adhérées aux choix de six autres confessions.
Le blocage se trouve au niveau de la signature du Procès-verbal, car les signatures de ces dernières confessions seraient indispensables, pour que l’Assemblée nationale adopte le choix de la composante confession religieuse. Entre temps, chaque camp reste dans sa position, le temps passe l’agenda électoral sera sans doute perturbée d’ici 2023.
Un consensus est incontournable pour l’inclusivité et l’indépendance des animateurs de la CENI en occurrence le choix du président de cette institution d’appui à la démocratie. L’on se demande pourquoi le choix d’un individu peut bloquer tout un processus ? Pourquoi les six confessions veulent-elles imposer leurs choix à l’Eglise catholique et Protestante ? Qu’est-ce qui cache cette prise de position catégorique de six confessions religieuses, comme-ci elles ont une conscience chargée quant à ce.
En outre, qu’est-ce que Denis Kadima a déjà fait en matières électorales pour mériter la confiance de six confessions religieuses ? Si Ronsard Malonda qui était aux cotés de Malu-malu, Ngoyi-Mulunda, sa candidature a été refusée, pourquoi retenir la candidature d’une personne qui n’a pas l’expérience sur la CENI ? Vu toutes ces interrogations, il est sage qu’on procède à une autre stratégie pour désigner le nouveau Président de la CENI.
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