ONATRA:La Gare ferroviaire de Limete 12ème rue est-elle vendue aux marchands des mitrailles, aux menuisiers, aux coiffeurs et
C’est ce que nos fins limiers ont investigué avec minutie, froidement, en enquêteurs désireux avant tout s’éclairer avant de dénoncer ce travers qui se déroule sur ce site compris entre la 12ème rue jusqu’à la 14ème rue, dans la commune de Limete. Tout se passe comme si les dirigeants de l’ONATRA n’existent pas, et même s’ils existeraient, ils sont irresponsables sur toute la ligne.
Comment doit-il en être autrement, lorsque ce patrimoine doit être abandonné entre les mains des agents véreux de l’entreprise et les éléments de la PNC, en détachement sur ces lieux, se présentant comme étant de la Police ferroviaire. Lesquels, s’adonnent à leurs exploits professionnels « tracasseries » ! Comme si cela ne suffisait pas, ils se sont recruté les enfants terribles du moment des « kuluna » comme supplétifs des monstres d’impiété et de barbarie.
Les Agents de l’Onatra et les éléments de la PNC, tous poussés par l’esprit superficiel et mercantiliste, se sont confiés une mission providentielle de procéder au morcellement de ces lieux pour y installer les vendeurs des mitrailles, les ajusteurs, les coiffeurs, les mécaniciens, les ajusteurs, et les vendeurs du sable, des Cailloux et des briques, contre la collecte des fonds allant de 10000Fc à 50000Fc, ça dépend de l’activité commerciale que l’on exerce. Tout cela au détriment de l’ONATRA.
« On ne vit jamais mieux que les agents de l’Onatra et les éléments de la PNC » trouvables sur cet endroit ». Ironie du sort ! Voilà le résultat du fameux dicton : « L’homme noir prendra la place de l’homme blanc », une honte de notoriété nationale, dira –t-on.
Mais ce qu’il y a de plus admirable, c’est l’inattention coupable des responsables de cette entreprise du portefeuille de l’Etat, qui ne s’intéressent pas à la protection du patrimoine foncier dans tous ses domaines et frontières millimètres par millimètres.
Il est bien à craindre qu’un jour le Building historique de l’Onatra légué par l’homme blanc, ne soit transformé en appartements à louer par des tierces personnes, pour y loger leurs familles. De tels dirigeants ne méritent pas de grandes charges. Rien n’est plus vrai cependant …
A regarder dans quel état cette gare est transformée au « wenze ya mabende » et toute sorte de la barbarie. Même sans être grand analyste, on se convainc vite que le visage de ces lieux reflète la vraie gestion d’une société déséquilibrée au degré supérieur.
A qui profite ces fonds collectés par les policiers et agents de l’Onatra ? La rédaction de l’Explorateur a sifflé, que les joueurs concurrents jouent.
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